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Recherche par mot-clé: ESSAI

1814 résultats. Page 47 sur 91.

Lu par : Madiana Roy
Durée : 3h. 43min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 69056
Résumé:Deborah Levy revient sur sa vie. Elle fuit à Majorque pour réfléchir et se retrouver, et pense à l'Afrique du Sud, ce pays qu'elle a quitté, à son enfance, à l'apartheid, à son père - militant de l'ANC emprisonné -, aux oiseaux en cage, et à l'Angleterre, son pays d'adoption. A cette adolescente qu'elle fut, griffonnant son exil sur des serviettes en papier. Telle la marquise Cabrera se délectant du "chocolat magique", elle est devenue écrivaine en lisant Marguerite Duras et Virginia Woolf. En flirtant, sensuelle, avec les mots, qui nous conduisent parfois dans des lieux qu'on ne veut pas revoir. Ce dessin toujours inédit que forme le chemin d'une existence. Ce que je ne veux pas savoir est une oeuvre littéraire d'une clarté éblouissante et d'un profond secours. Avec esprit et calme, Deborah Levy revient sur ce territoire qu'il faut conquérir pour écrire. Un livre talisman sur la féminité, la dépression, et la littérature comme une opération à coeur ouvert. [Prix Fémina étranger 2020]
Durée : 18h. 47min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 69058
Résumé:En 1941, lorsque l’Allemagne se retourna contre l’URSS, des dizaines de milliers de Polonais – hommes, femmes et enfants – furent libérés des camps de prisonniers soviétiques et autorisés à rejoindre l’armée polonaise formée dans le sud du pays. Le peintre et officier de réserve Joseph Czapski fut l’un des survivants de ce périple meurtrier. Le général Anders, commandant en chef de l’armée, assigna à Czapski la tâche d’accueillir les Polonais qui s’engageaient et d’enquêter sur la disparition de milliers d’officiers disparus. Bloqué à tous les échelons par les autorités soviétiques, Czapski ignorait qu’en avril 1940, les officiers avaient été abattus dans la forêt de Katyn. Le récit de Czapski sur les années qui ont suivi sa libération du camp, la formation de l’armée polonaise et son périple en Asie centrale et au Moyen-Orient pour combattre sur le front italien est un témoignage capital sur les souffrances des Polonais en URSS. L’auteur y mêle des portraits de ses compagnons, des réflexions philosophiques ainsi que le récit de ses rencontres avec de grandes figures littéraires, dont Anna Akhmatova.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 8h. 16min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 68895
Résumé:Pourquoi est-il si difficile de parler de racisme quand on est blanc ? La sociologue américaine Robin DiAngelo a passé vingt ans à étudier cette question dans des ateliers sur la diversité et le multiculturalisme. Elle en a tiré un concept fondamental pour comprendre le rapport des Blancs au racisme : la fragilité blanche, un mécanisme de défense ou de déni qui permet de détourner la conversation, empêchant d’identifier le racisme systématique qui persiste dans nos sociétés. Et donc de le combattre.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 16h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 68886
Résumé:Muni d’un carnet, d’une paire de ciseaux et de son smartphone, Antonio Muñoz Molina marche dans Paris, New York, Madrid, Lisbonne. Au fil de ses pérégrinations, des silhouettes surgissent tandis que d’autres s’esquivent et, soudain, au détour d’une ruelle, apparaissent Baudelaire, Edgar Allan Poe ou Fernando Pessoa. Les pages s’écoulent au rythme de la vie, tel un immense collage de tout ce que le promeneur voit et entend : affiches, prospectus, bruits omniprésents des conversations, vacarme de la rue. Animé par la tentation de tout écrire – ce qu’il a vécu, écouté, rêvé, souffert, aimé ou lu –, Antonio Muñoz Molina laisse courir la mine de son crayon et, sublimant les rebuts de notre civilisation avide et destructrice, compose « le grand poème de ce siècle ». D’une voix profondément ancrée dans le moment présent, cet éloge érudit de la flânerie nous invite à regarder et à écouter d’une autre façon, et à célébrer la variété du monde. [Prix Médicis étranger 2020]
Durée : 5h. 46min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69339
Résumé:Après le retour à un pouvoir autoritaire en Égypte et l’écriture du roman J’ai couru vers le Nil, consacré aux acteurs de la révolution égyptienne, Alaa El Aswany s’est livré à une réflexion fouillée sur la dictature, qu’il nous expose ici. Inlassable chroniqueur et militant de la cause démocratique, fervent pédagogue, il conduit une analyse clinique de la dictature, tant comme système idéologique que comme réalité persistante et insoutenable pour de nombreux peuples. Il ne s’agit pas d’une autopsie de la démocratie, mais bel et bien de la radiographie d’un mal récurrent à la fois dans notre histoire et dans notre monde contemporain. En neuf chapitres, étayés par de nombreux faits et anecdotes historiques, il étudie le syndrome, ses causes, ses symptômes, sa propagation, la prévention possible. Concret, précis, volontiers provocateur, toujours libre, l’auteur, qui s’attaque aux racines du mal, et rappelle ce faisant que la dictature est loin d’être l’apanage des pays arabes, délivre également un message d’espoir, professant sa confiance en l’humanité. Et fait, en filigrane, une nouvelle déclaration d’amour à son pays, l’Égypte, et à ses compatriotes.
Lu par : Monique Ménoret
Durée : 5h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 69310
Résumé:Depuis toujours, Didier Blonde collectionne dans un carnet les adresses et numéros de téléphone des personnages de romans qu'il croise au fil de ses lectures. Le présent livre les rassemble par ordre alphabétique (Mme Arnoux, la Dame aux camélias, Arsène Lupin, le commissaire Maigret, Benjamin Malaussène, Nana, Swann... ), avec les adresses où ils résident, transitent, se cachent, ou finissent tranquillement leurs jours. Didier Blonde a mené à chaque fois une enquête de terrain et dans les archives, qui permet d'interroger la part de fiction que revêtent ces lieux : numéros inexistants, immeubles détruits, rues fictives ou disparues, autant de passages dérobés... D'autres histoires se dissimulent parfois à des numéros cryptés. Sous la forme d'une promenade dans Paris, Didier Blonde déploie, en préambule de son répertoire, une réflexion sur les adresses en littérature et la rêverie qu'elles suscitent immanquablement. Des index par arrondissements et par rues cartographient ce Paris romanesque.
Lu par : Myriam Danard
Durée : 5h. 2min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 69304
Résumé:Une réflexion sur le plaisir et la signification de la marche, ainsi que sur les vertus thérapeutiques qu'elle peut procurer face aux fatigues de l'âme.
Lu par : Agnès Hatt
Durée : 8h. 46min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69302
Résumé:L'auteure met en évidence l'idée généralement admise d'une nécessité de s'adapter dans un monde complexe régi par la pensée néolibérale. Se fondant sur les théories de W. Lippmann et de J. Dewey, elle invite à une réflexion sur les liens entre la pensée politique et l'évolution humaine pour montrer qu'une autre interprétation du sens de la vie est possible.
Durée : 5h. 42min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 69233
Résumé:Une découverte des personnages les plus emblématiques de la littérature mondiale, de Faust à la Belle au bois dormant en passant par Don Juan, Superman, Quasimodo et le capitaine Nemo.
Lu par : Marion Martin
Durée : 25h. 25min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 69303
Résumé:Relecture de ce conflit considéré lors de son déroulement comme une guerre civile mais qui est en réalité une guerre connecté à l'espace-monde et qui a des implications politiques, économiques, sociales et culturelles majeures, expliquant la crise actuelle du pays. Par ces violences extrêmes (massacres, crimes de guerre, déplacements de population), elle préfigure certains conflits du XXIe siècle.
Durée : 12h. 39min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 69305
Résumé:Histoire de l'épidémie de grippe espagnole de 1918, des origines du virus à l'engrenage qui a causé la mort de millions de personnes au XXe siècle. Racontant les cas individuels de personnes touchées par la maladie, dont des célébrités de l'époque, l'auteure s'interroge aussi sur les conséquences sociales et historiques de cette pandémie.
Lu par : Marc Levy
Durée : 4h. 4min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69306
Résumé:La défense du secret dans la vie professionnelle et personnelle est le fil rouge de cet hommage au métier d'avocat. Hervé Temime revient sur sa trajectoire d'«avocat des puissants». Il nous raconte des affaires judiciaires connues et méconnues, analyse les mécanismes de la justice française avec ses failles, ses forces, et explicite, non sans ironie, ses rapports avec les médias. La société française de plus en plus judiciarisée prône la transparence et le jugement. Hervé Temime plaide, lui, pour le droit au secret et à l'ambiguïté. Nos libertés en dépendent. Il n'y a pas une seule vérité des hommes et il est nécessaire de rappeler ces mots de Malraux : «La vérité d'un homme c'est d'abord ce qu'il cache.»
Durée : 9h. 35min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 68834
Résumé:A partir des dernières découvertes scientifiques et de ses propres observations, le forestier le plus célèbre du monde nous ouvre les yeux sur les interactions secrètes entre l'homme et la nature. Les plantes réagissent positivement au toucher humain et sont capables d'entendre. Les arbres dorment, ressentent la douleur et ont comme un coeur qui bat. Notre tension artérielle se normalise à leur voisinage et la couleur verte nous apaise. En conteur incomparable, Peter Wohlleben nous révèle un cosmos merveilleux où l'homme n'est pas un être supérieur mais fait partie d'un tout, à l'égal de chaque plante, de chaque animal. Il nous donne des conseils pratiques pour transformer nos promenades en aventures et aiguiser nos sens. Il nous fait prendre conscience que respecter la nature, c'est nous protéger.
Lu par : Bernard Dieu
Durée : 9h. 3min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69145
Résumé:En plus de trente-cinq ans d’une carrière judiciaire où il s’est souvent heurté à l’ordre établi, Éric de Montgolfier a eu tout le loisir de débusquer les mensonges des prédateurs de la démocratie qui tentent de nous courber sous leurs exigences de morale alors qu’eux-mêmes ne s’y plient pas. On se sentirait pigeon à moins… Pressions du Pouvoir sur les magistrats, dossiers curieusement classés sans suite ou grâces surprenantes, traitements différents des affaires fiscales selon que vous êtes puissant ou misérable, influence ambiguë de la presse ligotée par ses annonceurs et ses connivences avec le monde politique, indélicatesses de certains avocats, enrichissement illégal de quelques notaires, aberrances de la législation sur les femmes, dévalorisation du travail dans les textes : oui, il s’agit de Justice ! Mais pas seulement de l’institution. Nous sommes tous concernés. Et parce que ce livre talentueux dont les anecdotes vécues soutiennent le discours respire l’intégrité, il donne à chacun de nous l’envie de s’y soumettre, pour être digne de l’exiger. Ceux qui seraient spontanément tentés d’adopter le plumage du pigeon comme une justification de leur passivité doivent se rappeler sans cesse que, plus qu’un droit, la citoyenneté est un devoir qui ne souffre pas de compromis.
Lu par : Bernard Dieu
Durée : 13h. 38min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 69142
Résumé:Ce livre entreprend de relater et de clarifier, à destination d'un large public, le poids encore très actif de l'esclavage dans nos sociétés. Reprenant les grandes étapes qui ont mené de l'esclavage méditerranéen puis africain et atlantique aux processus de colonisation européenne dans trois continents (Afrique, Amérique et Asie), il donne les clés historiques de la définition de la race, et dévoile ses fondements économiques, anthropologiques et politiques. Parce qu'elle est aussi celle des notions de liberté, d'égalité, de travail et qu'elle engage nos identités, l'histoire de l'esclavage tire le fil de la construction de l'Europe, et révèle l'ordre racial qui régit notre monde contemporain.
Durée : 2h. 18min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69141
Résumé:Dans la panique sanitaire et économique liée à la propagation du Covid-19 la bataille de l’après a déjà commencé entre ceux qui veulent un retour à « la normale » et ceux qui appellent à un changement. Quoi qu’il en soit, rien ne sera exactement comme avant. Dans cet essai vif et dense, Hubert Védrine se penche sur tous les débats qui vont forger notre avenir. Pendant des années, nous sommes restés sourds face aux alertes annonçant une pandémie dévastatrice. Dans le chant des sirènes de la mondialisation elles étaient littéralement impensables. La propagation rapide de la Covid-19 a sonné brutalement l’heure des comptes. Dans la panique sanitaire et économique, la bataille de l’après a déjà commencé entre ceux qui veulent un retour à « la normale » et ceux qui appellent à un changement, relatif ou radical. Mais comment pourrait-on revenir à « la normale », c’est-à-dire à la multidépendance, l’insécurité financière, l’irresponsabilité écologique ? La question aujourd’hui est donc de savoir ce qui demeurera et ce qui doit être changé. Parviendrons-nous à éviter l’effondrement économique mondial sans sacrifier l’urgence vitale de l’écologisation ? Un système multilatéral international pourra-t-il être refondé, à commencer par un système d’alerte sanitaire ? Comment nous extraire des dépendances de nos économies, si dangereuses et révélées par cette crise ? Comment allons-nous repenser le tourisme ? Comment va-t-on gérer la réhabilitation de l’Etat-nation et la nouvelle demande d’Etat protecteur ? Que faire au niveau français, au niveau européen ? Dans cet essai vif et dense, Hubert Védrine se penche sans détour sur tous les débats qui vont forger l’après-pandémie mondiale.
Lu par : Isabelle Buchet
Durée : 4h. 42min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 69137
Résumé:Pourquoi admirons-nous les Elfes ? Qu’est-ce qui fait la grandeur des Hobbits ? De quoi l’anneau est-il le symbole ? Que voit-on dans le miroir de Galadriel ? Des questions, parmi d’autres, auquel cet ouvrage essaie de répondre, en croisant l’œuvre de Tolkien avec des textes de philosophes. Ce faisant, les auteurs ne prétendent pas établir une philosophie globale du Seigneur des anneaux, mais montrent comment on peut philosopher à partir des objets de la Terre du Milieu. Sous la forme de brefs essais, ils invitent le lecteur à poursuivre l’aventure littéraire par une petite aventure philosophique.
Lu par : Carole Beuron
Durée : 1h. 26min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69136
Résumé:«Et si le care devenait, enfin, l’affaire de tous?» À la racine des inégalités de notre organisation sociale, il y a cette idée qu’une femme, c’est toujours un peu moins légitime, compétent, important qu’un homme. Voilà pourquoi on craint, à chaque soubresaut de l’histoire, que ne se réalise la prédiction de Simone de Beauvoir : «Il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse, pour que les droits des femmes soient remis en question.» De fait, la parole d’expertise et de pouvoir des hommes a repris le dessus durant la crise, alors même que nous redécouvrions que le vaste peuple, aussi indispensable qu’invisible, des travailleurs qui prennent soin des autres était massivement constitué de femmes. De sorte que le combat féministe pour l’égalité peut s’identifier à la défense d’un projet de société qui, au nom de notre vulnérabilité commune, reconnaisse enfin une valeur au travail du soin et à la contribution de chacun plutôt qu’au pouvoir de quelques-uns. Telle est l’éthique démocratique du care.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 1h. 28min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69138
Résumé:L’Université se retrouve en première ligne du front numérique. En ouvrant la voie à une adoption plus large du «distanciel» dans l’enseignement supérieur, la crise pandémique va accentuer les évolutions profondes déjà engagées dans les apprentissages universitaires et leurs évaluations. Elle met au jour sa vulnérabilité aggravée à l’emprise toujours plus forte des logiques managériales sur un lieu dont la vocation critique consiste pourtant à les tenir à bonne distance. Car le numérique n’est pas une forme vide ; il porte en soi certaines manières de faire et de dire auxquelles, précisément, l’Université ne saurait sans résistance se plier, au nom d’un enseignement libre, incarné et divers – et par là aussi, de son temps. Il y a urgence à agir.
Lu par : André Jobez
Durée : 4h. 34min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69134
Résumé:L’Établi, ce titre désigne d’abord les quelques centaines de militants intellectuels qui, à partir de 1967, s’embauchaient, “ s’établissaient ” dans les usines ou les docks. Celui qui parle, ici a passé une année, comme O S. 2, dans l’usine Citroën de la porte de Choisy. Il raconte la chaîne, les méthodes de surveillance et de répression, il raconte aussi la résistance et la grève. Il raconte ce que c’est, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Mais L’Établi, c’est aussi la table de travail bricolée où un vieil ouvrier retouche les portières irrégulières ou bosselées avant qu’elles passent au montage. Ce double sens reflète le thème du livre, le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets : ce que Marx appelait les rapports de production.L’Établi, ce titre désigne d’abord les quelques centaines de militants intellectuels qui, à partir de 1967, s’embauchaient, “ s’établissaient ” dans les usines ou les docks. Celui qui parle, ici a passé une année, comme O S. 2, dans l’usine Citroën de la porte de Choisy. Il raconte la chaîne, les méthodes de surveillance et de répression, il raconte aussi la résistance et la grève. Il raconte ce que c’est, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Mais L’Établi, c’est aussi la table de travail bricolée où un vieil ouvrier retouche les portières irrégulières ou bosselées avant qu’elles passent au montage. Ce double sens reflète le thème du livre, le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets : ce que Marx appelait les rapports de production.